mardi 26 décembre 2017

15000 Haitians all with aids, the why doesn't matter!

Open letter to
Who looks like powerful but forgetting history

*15000 Haitians, all with aids*
The media reported it with a purpose, and we don't know why.
The powerful denied it and we don't know why.
One thing is sure, it's not the first time!

Thirty years ago, some people used our dear name, our proudfull name (haïtian) to walk on us, to destroy us, to stigmatize us about the spreading of a disease (aids) which we was only a victim.
Today some people want to use the same topic not only to destroy us but also to manipulate and brainwash all an electorate for which the stigma was fighting like a non-sense.

The main reason is that we always ask why? Why our name?
Because we are human, sensitive, emotional, doubtful like all the humanity.
But today we don't have to ask why? Why our name?
Because some non-sense don't deserve our emotion, our frustration. It's matter to ignore them.

We came here for some humanitarians reasons. We came not like some dreamers but with the conviction if we work hard we will be successful because the stereotype made of this land *THE LAND of OPPORTUNITIES.
It's maybe a wrong stereotype, but until now our hard work give fruits personally and for all our countryside.

It's not the time to deny, it's not the time to play the victim. It's the time for justice. It's the time to safe the blood and spirit of thousands people whom with their hard-working, without a criminal record made this great AMERICA.

If we together made this AMERICA great, why couldn't we together make the greatest one?

Jhon E. Douyon
Only an immigrant voice
We are all Haïtian/Nigerian 

mercredi 8 novembre 2017

Le duel pasteur M et hougan O, mes remarques

Ce n’est pas la première fois
Ni un deux Novembre comme ça
Que surgissent ces cas
Peu relayés par les médias

On rate peut-être l'occasion
Non de faire sensation
Mais de poser la question
Les limites de nos missions

Quand le  pasteur et son troupeau
Partent dompter les louveteaux
Agressent un isolé louveteau
Puis crient victoire, le heros

Un signe d'évolution spontané
Que les données ont changé
Les anciens prédateurs sont avalés
D’où le cercle vicieux répété

On est peut-être en démocratie
Mais il est temps qu’on dit
Ils nuisent les cohortes de nuit
À chacun les limites décrits

Comme disait l’épopée
Dans un pays opprimé
Même les morts enterrés  
Ne peuvent, en paix, se reposer!

C’est à nous de construire la paix
Garantir la stabilité par le respect
La liberté religieuse n’est plus un souhait,
Sur cette terre. Désormais c’est un fait!


mardi 31 octobre 2017

Le gouvernement haïtien fabriqué à Madrid

Face à la crise espagnole, je peux même dire que l’europe n’est plus. Car sans identité, on ne se reconnaît pas.

La culture du dialogue longtemps projetée, la culture de la tolérance longtemps enseignée,  sont disparues. Aucune trace, même un peu d’hypocrisie!
La violence, les menaces se sont multipliées et l’europe silencieusement regarde sans piper un mot!

Pourtant le gouvernement haïtien plus royaliste que la poupée royale, brandit ses critiques et prend position, pire au nom du peuple haïtien.
Il faut le rappeler au gouvernement haïtien que la crise espagnole est interne et que s’immiscer est inapproprié.
Il faut aussi le rappeler que l’indépendance de la première république noire n’a pas été acceptée par l’Espagne pays colonisateur, pays exploiteur de richesses et assassin de la race indigène.
Il faut aussi le rappeler qu’aujourd’hui encore Haïti cherche son indépendance des forces dites amis,  qui propagent la corruption, le viol et la misère. Combien un référendum à la catalane pourrait nous faire du bien pour sortir de leurs griffes.

Enfin, Mesdames et messieurs du gouvernement haïtien, vous avez le pouvoir et les privilèges pour orienter la diplomatie haïtienne, mais vous n’avez pas le dernier mot. Comme le silence de l’europe, faites gaffe à vous!

Que vous le sachiez une fois pour toute:
Même si Haïti devrait choisir, elle serait jamais du côté de l’oppresseur.
Car face aux intérêts,
Il n’y a ni Américains, ni Africains ni Européens, que des humains.

Dr Jhon E. Douyon 

Non, le leader ne doit pas mourir

Il est malade et beaucoup comme moi attend sa récupération ou son rétablissement.
Mais loin du rétablissement du leader, on souhaite son rétablissement idéologique.

On croyait que la force pouvait tout faire, mais on finirait par comprendre que seule l’idéologie demeure!

Quand un leader continue à se porter devant la scène, il fait bien. Mais il ferait mieux s'il projette ses pensées, sa vision car ces dernières sont les vraies immortelles!

Le leader ne mourra pas car sa bravoure est éternelle. Il ne doit pas mourir car ses pensées pourront nous servir d’engrais pour libérer la mère patrie!

Même si construire des hôpitaux, accès à des soins de santé de qualité font défaut dans les plans de gouvernance, le leader ne doit pas mourir pour autant!

vendredi 27 octobre 2017

Corée du Nord: Capitulation ou attaque morale

La Corée du Nord est connue pour ses répliques et sa ferme position à défendre sa souveraineté.
Cependant dans une note hypothétique retraçant les dire du leader Nord-Coréens, il est écrit ce qui suit:
*nous ne frapperons jamais ni délibérément nos frères du Sud par les armes nucléaires. Toutefois s’ils cachent en leur seins, l'ennemi avec ses potentiels nucléaires, nous n’aurons pas le choix pour notre défense et survie.*

Par ces mots, voyez-vous une Capitulation ou une attaque morale?

Verrons...

samedi 21 octobre 2017

Lui forcé à partir

Quand vous dites que le docteur doit partir
Voudriez-vous dire qu’il doit mourir?
Car partir est un petit peu mourir

Partir pour avoir accepté de servir
Partir pour avoir tenté de contredire
Partir pour essayé de tout dire

Oui, il doit partir et même mourir
Car la corruption veut grandir
L’arbre du gabegie veut fleurir

Oui, il doit par un mémo, finir
Ses valises pour enfin détruire
La personnalité qu’il a su bâtir

Si la rue savait comment sortir
La tête de l’eau pour ressurgir
Les valeurs serait bien à garnir

L'intégrité est à construire
La compétence est à fournir
Le respect à embellir

La chair humaine n’est pas à cuir
Le souffle de vie n’est pas à saisir
Cette haine est à bannir

Vous ne devez pas fuir
Il ne doit non plus partir
Pour ensemble et plus loin rebondir!

vendredi 20 octobre 2017

Le bêtisier de monsieur le maire nous intéresse

Pourtant tout avait si bien commencé, proche ou fervent défenseur du pouvoir en place. Il alternait entre les 5 mieux positionnés dans la hiérarchie des ptits amis du clan au pouvoir. Bon et très bon s’ajoutaient à son palmarès.

Bref c’était avant l’installation du premier ministre Dr Lafontant, il y a 8 mois. Car le parlement a séparé le gâteau et évidemment il fallait avoir des frustrés. Donc la frustration a démotivé et délogé une frange dans l’orgueil des chefs comme monsieur le Maire.
Cependant en bon professionnel de la politique, il s’est fait plonger pour ressurgir avec la caravane. Il n’est pas con ce type!
Comme la caravane avance, monsieur le maire respire. Les rues ont reçu des coups de massues et les promesses se multiplient. donc l’espoir fait vivre!

Malheureusement le temps vient jouer son tour! Cette fois, motivé par cette question de budget, la tension est montée et depuis, le pouvoir et monsieur le maire ont perdu le contrôle de la rue. D’où un changement drastique de l’agenda.
Ainsi dans le souci de reprendre le contrôle, monsieur le maire mieux expérimenté et moins orthodoxe que les acteurs passifs des palais, a déclenché une avalanche, des attaques pointues et tranchantes  sur des cibles divers mais directs . Monsieur le maire sait très  bien que la politique est une onde qui va de haut en bas,  de bas en haut et que chacun a son momentum.

Une, deux et trois semaines se sont succédées et le clan du pouvoir résiste et se renforce. L’opposition multiplie les alliances traditionnelles, malsaines, opportunistes pour un ultime déracinement des pintades.
Monsieur le maire insiste et fait le monologue avec son camp pour forcer la mise à jour d'une certaine vérité étouffée dans le temps pour raison sous couverte et affaiblir l’opposition. Franchement il est  presque le seul à tenir tête à une opposition en mal de paraître sans renouveau ni alternative viable.

Mais avec le temps, les citoyens de la ville s’en fichent, se lassent de tant de palabres. Et souhaitent que monsieur le maire arrive à réunir son équipe pour s'occuper des plus urgents comme l'électricité, les  services pompiers, le port, la sécurité...les citoyens de la ville souhaitent aussi qu’il prépare déjà sa succession, car les gens passent et la ville restera.
Après tant de bêtises, il faut que la ville puisse retrouver sa classe, sa dignité,  son élégance et son hospitalité caractéristique.
Gérer une ville est plus technique que politique, il faut constamment mettre les citoyens face à leur responsabilité pour qu’ils s’engagent eux-mêmes dans la construction ou reconstruction de leur ville. Il faut réconcilier la ville avec elle-même avec ses filles et fils pour que la symbiose fasse effet. Il faut activer l’assemblée communale pour adopter des décisions favorables au développement communal. Il faut finir avec le matador superbe et offrir l’opportunité à tous de servir à la patrie commune.

La grande majorité des politiciens actuels cultivent la bêtise, font éloge de la bêtise. Mais pour l’honneur et pour demain, la jeunesse de cette ville s’intéresse au bêtisier de monsieur le maire!

jeudi 19 octobre 2017

Le DP Calleb est passé à coté

Il est connu pour son franc parlé, grâce à son show radiodiffusé très populaire.
Il est élu DP du peuple et malgré certaine timidité ou passivité, il a gardé un profile respectable. Il fait de son mieux pour sortir sa tête de la foule inconsciente.
Toujours jovial et sûr de lui, il impacte celles et ceux qui l'écoutent.

Cependant aurait-il profité de ce charisme pour bluffer les gens?
Comment peut-il descendre aussi bas?

Dans une vidéo qui circule sur internet et les réseaux sociaux on voit combien le DP insiste sur le salaire misérable d’un collègue DP de treize mille gourdes.
Dit-il, le collègue est très endetté!

Pourquoi cette insistance ou ce focus sur cette partie du salaire?

Il va surement dire qu’il a expliqué par la suite,
Il va dire que les frais ne sont pas inclus dans le salaire.
Il va dire que des privilèges restent exclusifs
….

Comment est-il possible que le DP ne regarde pas ces contours avec un oeil critique?

Comment regarde t’il un employé de la sous-traitance sans assurance santé, sans frais pour une bicyclette, sans frais pour louer une chambre, sans frais pour son téléphone, sans frais pour son alimentation, sans gratuité pour l’éducation des ses filles et fils?

Il est inadmissible que tant d'inégalités persistent dans notre société. Que les ressources de l’État soit à disposition d’un seul petit groupe.
La parité salariale est un objectif pour toute société en quête de justice sociale et contre toutes formes de discriminations.

Cher honorable, on peut faire mieux!
Que vous remontez à votre standard!
Que vous vous asseyez à votre vrai place!

               Respectueusement v…!

mardi 17 octobre 2017

Souvenir de Jacques 1er

Fils de négresse
Chargée de tendresse
Sorti d'une cité africaine
Et dépourvu de gène
Conduit en Amérique
Apportant le rythmique
Qui lors des souffrances
Transmet de l’espérance

Depuis l’enlèvement
Au débarquement
Il restait enchainé
Ce qui lui ôtait sa liberté
Les coches sonnent
Et l’Afrique donne
Encore sans penser
Aux maux des délaissés

Cela a duré des siècles
La fermeture des cercles
D’où règne l’arbitraire
L’injustice sans soustraire
D’où l’exploitation
Reste sans condition
D’où on ignore les fleurs
Pour effacer le bonheur

Il était brutal
Car il marchait sale
Travaillant dans les champs
Rencontrant les tourments
Vint et surgit ce miséreux
Brave et courageux
De livrer son âme
Dans des combats infâmes

Il a donné l’indépendance
A toutes les tendances
Il a donné l autonomie
A tous les endormis
Il nous a donné un drapeau
Ayant la couleur de notre peau
Il nous a donne une patrie
En donnant delà, sa vie

C n’était pas pour s’entretuer
Que son sang fut versé
Mais pour construire une économie
Au bonheur des fils de la patrie
Car pour lui, rien n'a autant de sens
Dans une société a multiples tendances
Ce n était pas l’idée d'un égoïste
Malgré tout il était un altruiste

Digne et héroïque
Chante sa musique
Mémoire de tout âge
Symbole du partage
D’où il fut mort
Là où il  s’endort
Delà sur son tombeau
J allume ce flambeau

 Dr Jhon Evenst Douyon

Maman, elle ne l’est pas

Beaucoup de femmes pensent que le simple fait d'être amantes d’un  papa fait d’elles, des mamans .
Elles se trompent grandement!

Vous avez sûrement entendu dans les grandes manifestations populaires et de rues surtout les derniers 36 mois passés, cette chanson, ce refrain *banm manman m*
Vous vous êtes posés comme moi la question suivante: est-elle vraiment leur maman?

Je voulais réviser pourquoi cette naïveté en voulant l'appeler maman? tandis qu’elle ne l’est ni en peinture!
Généralement en matière électorale plusieurs tendances expliquent l’approche émotionnelle des foules.
  • ironie
  • vengeance
  • Amour fou
  • - …

Papa est connu pour être un vrai roi, qui par son charisme, mobilise, sensibilise et touche une couche sociale dont il a essayé de faire avancer.
Papa est toujours aux côtés de ses *fils et filles*, il se comporte comme eux , et eux à leur tour lui font revenir l’ascenseur.
Cependant Papa a eu une fidèle et loyale servante . Papa a pleinement confiance en elle, et face aux crises de confiance des derniers quinquennats Papa a remis toute sa confiance en elle pour sa succession.

C’etait peut etre une erreur inévitable!
Inevitable car le consensus n'était pas trouvé entre les serviteurs et les profiles n’inspiraient Pas mieux.

Elle ne s’est jamais arrivée à atterrir , à s'identifier aux filles et fils de papa. Elle n’a  pu associer ni les discours ni les crédits de Papa pour convaincre des filles et fils endoloris.

Mais la plus grande erreur réside qu’elle pense qu’une maman pourrait échanger un vote á l’amour maternel! Jamais, jamais!

Tristement ainsi!

dimanche 15 octobre 2017

Manifestations politiques vs artistico-culturelles

Il n’est un secret pour personne que les manifestations politiques sont plus fréquentes que les manifestations artistico-culturelles de qualité.
La facilité pour un leader politique de mobiliser dans les rues une centaine de milliers de personnes pour une manifestation politique reste un véritable défi pour les managers et représentants d’artistes.
Plusieurs raisons l’expliquent
1- je ne toucherais pas un manque d’espace médiatique dédiée à la promotion de la culture et l’art.
Je ne toucherais pas non plus un manque de moyens logistiques et financiers destinés à l’organisation de ces manifestations artistico culturelles.
Car c’est une evidence palpable.

Mais ...

la planification que requiert une exposition de peinture, une compétition de danse, un concert musical, une foire agro …
Ce qui mérite une large préparation,répétition, dedication, spécialisation et précision pour un public avisé.
Ce public avisé, qui connaît la peinture, la musique, la poésie, les expressions corporelles, les effets et impactent du bricolages,  les traductions ou interprétations photo vidéographiques, qui sait apprécier, déguster, savourer, … les créations authentiques.
Peu importe que cela blesse, ce public avisé n'existe pas.
Des gens avisés bien sur, on en a. Mais ils ne sont pas aussi nombreux pour influencer une zone géographique dans notre Haïti chérie de tous, nous sommes quasiment dépourvus de ce département dans nos écoles, dans nos églises et regroupements sociaux.

Tandis que les manifestations politiques sont en nette progression depuis les années 1983, des répétitions chaque semaines, même pour des employés révoqués en flagrant délit de vol. Elles reçoivent des financement juteux pour chauffer le béton. Elles ont toute une batterie à musique carnavalesque pour les garder motivés.

Bref, notre destiné comme peuple dépend en grande partie sinon essentiellement de nos choix ou de nos priorités.
Il est de notre bien-être d’exiger et d’installer un département artistico-culturo-sportif dans toutes nos écoles pour nos enfants et le lendemain de notre nation.

C’est à mon humble avis, la seule façon de contrer la montée des manifestations politiques au profit des manifestations artistico-culturo-sportif!

Converser avec le leader (part 2)

On vous a souvent entendu citer des révolutionnaires de grand calibre. Leurs citations sont souvent dans votre bouche. Vous savez tout aussi bien les pré-requis d’une révolution. Pourquoi Agissez-vous maintenant en contre révolutionnaire?

-Comment ça!?

De prime abord,vous n’avez jamais orienté la masse populaire victime des exactions sur quel type de révolution proposée,
Segundo vous ne travaillez pas dans une équipe organisée qui exprime et imprime les idéaux révolutionnaires.
Tercero  vous vous laissez aller dans un combat de leadership dans un mouvement clanique en attaquant vos propres camarades de combat ou votre adversaire direct oubliant les maux d’un système d’exploitation pourrie.

Pourquoi cet empressement? Pourquoi cette rupture idéologique?


Il est vrai que les opportunités méritent d'être saisies, mais pas à n’importe quel prix?
À chaque fois qu’un leaders se tournent en Caméléon, c’est enfoncé  davantage les chances d’une prise de conscience collective sur la terre qui nous a vus naître.

La prise de conscience collective est une condition sine qua non pour le chambardement des systèmes abusifs d’exploitation de la société, et celle-ci ne marche pas avec la propagande. Elle utilise comme carburant les valeurs de justices et de la vérité. Elle n’est pas là uniquement pour réclamer et défendre des droits mais aussi  pour exiger l’accomplissement des devoirs.

La finalité de nos combats n’est autre que construire ou reconstruire une société où il fait bon vivre, où on respecte les prescrits et se respecte, où les libertés soient garanties, où la fraternité, mère de notre union, soit le symbole de notre grandeur d'âme, où l'égalité effacera les discriminations liées aux origines géographiques, religions, niveau académique, sexe et couleur de peau.

Dites-moi…!

samedi 14 octobre 2017

Converser avec le leader

Je ne suis pas ton fan et je l'avoue, cependant j'admire votre bravoure et détermination à mener de sérieux bataille aux côtés du peuple haïtien.
Sans détour j'avoue aussi que parmi les milliers de questions possibles je préfère la plus débile.
Je la préfère car elle pourra me permettre de lire la personnalité du leader que vous êtes, si vous acceptez votre propre discours et aussi à quel point la moralité pourrait triompher si vous arrivez au sommet de la magistrature suprême de l'État.
La question permettrait aussi de stimuler la jeunesse à assumer et vivre pleinement leur choix.

Quelle est votre religion?

Vous êtes surpris sûrement! Et bien il y a beaucoup d'autres comme vous.

Par cette question, on peut lire la spiritualité / l'élan patriotique qui vous anime et la morale qui s'exprime dans vos dire et faire quotidiens.
Par cette question, on peut déjà identifier votre famille élargie et avoir une idée de comment vous vous comportez avec cette famille.

Point besoin de résumer votre vie en une carrière politique, sinon votre carrière est spontanée et sans racine.
Une société est gérée non par des extraterrestres mais par des gens qui restent connectés à leur tradition, à leur quotidien, aux valeurs sociales; par des gens qui habitent tout près et qui aident par des gestes simples à un mieux-être collectif.

Dites-moi!

mardi 10 octobre 2017

Close your eyes to listen - you might understand more

Nicola Davis/ The guardian
Tuesday,october 10, 2017

When it comes to understanding how another person thinks and feels, it might be best to close your eyes and listen.

A study by an American psychologist suggests that people are better able to pick up on the emotions of others when simply focusing on their voice, compared to both watching and listening to them, or just watching them.

“Humans are actually remarkably good at using many of their senses for conveying emotions, but emotion research historically is focused almost exclusively on the facial expressions,” said Michael Kraus, a social psychologist at Yale University and author of the study.

While combining information from a person’s voice with their facial expressionsand other cues might at first seem like a way to boost understanding of their thoughts and feelings, Kraus says pooling the senses divides attention.

What’s more, he notes, facial expressions can mask a person’s true feelings – something that he says is harder to do with the voice – while language plays a key role in how people understand and label their emotions. The upshot, he says, is that what people say, and the way they say it, offers the clearest insights into the emotions of others.

“Listening matters,” said Kraus. “Actually considering what people are saying and the ways in which they say it can, I believe, lead to improved understanding of others at work or in your personal relationships.”

The study, published in the journal American Psychologist, describes a series of five experiments involving more than 1,770 individuals, in which participants were asked to rate how another person felt using a series of scales reflecting different emotions.

How to be a good listener: the experts' guide

 Among the experiments, 266 strangers were paired up and asked to discuss film and TV then food and drink in both a lighted room and a room with the lights off. In each case, participants then rated their own emotions and those of their partner on a series of scales.

The results revealed that participants were better able to accurately estimate their partner’s feelings when the lights were off.

In another, almost 600 participants recruited online were each shown a video of three women taking part in the experiment above in one of three scenarios: the lighted-room conversation, a night-vision video of the dark-room conversation and a sound-only recording of the dark-room conversation.

The results showed that viewers were best able to assess women’s emotions in the sound-only recording.

Professor Sophie Scott, head of the speech communication group at University College London, agreed that people are often better able to control their facial expression than their voice when emotional – and that, in some cases, voices and visuals can tell a different story.

But while she said the results from the latest study were very interesting, they were far from dramatic. “The effect sizes are tiny,” said Scott. “It could be that these [other cues] are making a difference – but it is perhaps not an enormous difference.” But, she noted, it might be that the studies did not provoke much emotional variation among those taking part.

Scott added that the importance of the voice may not apply to everyone, noting that other research has shown that when understanding of speech is impaired, people develop an enhanced ability to pick up on the facial cues of others.

Kraus agreed. “I actually think that people with hearing problems must be particularly adept at parsing the facial and nonverbal expressions of emotion,” he said.

Ray Wilkinson, professor of human communication at the University of Sheffield, said that the study was interesting, but noted that the findings were based on experimental situations that might not reflect “real life” interactions and added that, while the content of a person’s speech is, unsurprisingly, important, other research has found that gestures can help to get a point across.

“The findings are little bit surprising in that what we know generally about human communication is that it is multi-modal – it is not just verbal,” he said. “Gesture and facial expression are also important for communication and add a lot to the overall meaning.”

While Wilkinson notes the situation might be different for emotions, he adds that the idea of the “true” message is problematic. While verbal and facial cues might offer a different message, “that can be part of what we are wanting to convey,” he said. “It depends what we mean by the ‘real message’ or what what the ‘real’ emotion is – that in itself can be a rather slippery concept.”


Topics

Psychology

jeudi 31 août 2017

Tu vois quelques choses, dis quelques choses!

Tu vois quelques choses, dis quelques choses!
C'est une phrase peut-être commune, mais qui inspire et apporte un élément révolutionnaire dans notre insécurité quotidienne.
Nous devons changer de méthode,  changer de stratégie. Nous devons opter pour le durable, le long terme. Nous devons, comme tout bon joueur d'échecs éviter un affrontement frontal, mais un sous-couvert chirurgical.
Nous ne sommes pas parfait et non plus les plus propres pour mener à bon terme une campagne contre la corruption, mais l'initiative appelle à la noble mission d'apporter un plus au développement durable de notre communauté.
Si prévenir vaut mieux que guérir, nous allons devoir tout simplifier par efficacité et efficience.
Simplifier les procédures, simplifier les dépenses jusqu'à l'utile et l'essentiel, ...
Pour ce faire, ne devrions-nous pas le plus vite penser à l'intelligentsia, au board stratégique, aux heures de planification en tout et partout?
Bien évidemment, mais c'est encore un tourbillon de palabres qui automatiquement surgira avec le besoin .
Pouvons-nous encore simplifier?
Toujours car tout vient de l'atome!

Et si comme le propose les jeunes de ma région *le sud d'Haïti*, on prend l'initiative de lancer une nouvelle campagne, traditionnelle ou moderne, avec ce plus value:

**ou wè yon bagay, di yon bagay!**
**tu vois quelques choses, dis quelques choses!**
**you see something, say something!**

Que vise cette campagne?
Comme relaté à l'intro, nous voulons prévenir l'escalade et freiner la corruption, le vol, les abus, l'injustice, ... à son niveau premier et éviter que ces fléaux attaquent les générations à venir.

Comment y parvenir?
Nous comptons sur la participation noble, volontaire de toute la population aspirante à un mieux-être, à un regain de fierté sur la terre qui a chassé l'esclavage  pour offrir le plus grand bien que l'humain pourrait posséder : la liberté!

Quel impact attendrons-nous?
Nous pouvons dire que depuis longtemps, on savait dénoncer les choses, mais jamais il n'a eu de suivi.
C'est là qu'on veut y arriver, c'est là où la plaie gangrenée mérite l'amputation.
C'est la dénonciation à tous les niveaux et à grande échelle!
Exemple: il faut apprendre aux enfants à dénoncer les tricheurs depuis leurs salles de classe, car les enfants sauront le sens du mérite. On finit avec la moyenne de ses capacités. On gagne aux prix sa place, sa réussite aux prix d'efforts

La campagne vise à redonner aux enfants et jeunes, même les adultes,  la ligne de conduite qu'il faut!
Car il est dit: qui vole un oeuf, volera un beuf!

Si nos ministres, nos parlementaires, nos directeurs généraux, nos dirigeants ont frauduleusement franchi les étapes, que devrait-on espérer d'eux?
L'éducation commence à la maison,  passe en salle de classe, sur les bancs de l'église, dans nos regroupement. ..entre autres pour accoucher ce qu'on est aujourd'hui!

Partageons  cette campagne et faisons d'elle la révolution pour qu'en l'an 2054, 250 d'indépendance, nous puissions léguer ce motif de fierté et de dignité comme les Aïeux l'avaient fait en 1804!
**tu vois quelques choses, dis quelques choses**

Dr Jhon Evenst Douyon

mercredi 14 juin 2017

Tenez bon le flambeau de la résistance

Vue notre expérience dans le leadership revendicatif,  permettez-nous de partager la souffrance du camarade blessé en plein mouvement revendicatif à la faculté d'ethnologie de l'université d'état d'Haïti.
Nous voulons juste lui dire que si nous devons tenir bon aujourd'hui, sa souffrance sera notre inspiration et l'engrais pour faire germer victorieusement la cause.

Il faut se rappeler que le vacarme veut faire croire au chaos, à un mouvement sans leadership et même à une cause sans noblesse. Mais nous répondrons avec fermeté et assurance, détrompez-vous!
Vous ne savez peut-être pas, combien la passion du citoyen universitaire nous ronge comme étudiants et fait de nous ces rebelles qui résistent à la dictature, à la défaillance des pouvoirs publics.

Nous les étudiants sommes le dernier rempart tantôt de la démocratie que du développement durable passant par les progrès scientifique et technique.

Nous sommes constamment acculés et personne n'a jamais osé nous défendre. Malgré de faite, c'est à nous de nous défendre nous mêmes et défendre les faibles académiques et mentaux de l'exploitation démesurée et abusive des dirigeants sans scrupules et à défaut de maturité intellectuelle ou morale.

Que vous vous méfiez de la forme, car elle est trompeuse. Mais laissez-vous allez dans la profondeur de la cause que nous sommes en train de défendre.
-Celle d'une université qui se respecte et respecte le terroir et son peuple.
-Celle d'une université où la science et la technique soient projetées dans le dessein de grandeur et fierté  de la terre d'Haïti.
-Celle d'une université moderne et standardisée qui accueille les nationaux comme les internationaux dans un climat de quête d'excellence.

Je ne dirai pas que nos formes de revendications ont été les plus pacifiques, les mieux organisées, mais face à tant d'irrégularités flagrantes, de moquerie et parfois d’indifférence, notre attitude ne pourrait non plus se révéler politiquement correcte. C'est comme Machiavel l’a révélé, si ces dirigeants en manque de caractère nous détruisent l’avenir, nous devons leur tenir tête.
En plus qu'est-ce qui empêche aux dirigeants de l'UEH de se rallier à la  cause?

Bref, chers camarades universitaires des différents niveaux de formation, ce n’est plus le moment de se rétracter. Malgré la douleur et la peur qui planent, ne les laissez pas taire l'université. Unissez vos voix pour faire des universités du pays ce qu'elles doivent être: belle, digne et prestigieuse!

Bon courage @ vous!

Dr Jhon Evenst Douyon

lundi 20 février 2017

Haïti vs une géopolitique défavorable

Beaucoup de fois les gens se livrent à l'alcool ou toute autre drogue pour oublier leurs préoccupations, pour se déconnecter de la réalité et surtout goûter à la bonne humeur de l'inconscience, de l'extase. Il en va de même pour ceux qui se livrent à la religion pour noyer leur misère, masquer leur passivité et leur incapacité à prendre la route de l'auto-détermination.
Aujourd'hui le peuple Haitien vit cette dure réalité, son quotidien devient progressivement incertain. On connaît le marasme, le rachitisme chronique, ce qui nous a valus d'être parmi les pires en développement humain pendant les 20 dernières années. C'est déjà un fardeau, un lourd poids sur les épaules des prochaines générations.
Si rien n'est fait aujourd'hui, comment serait demain?
Sur cette interrogation, passons dans une revue succincte sur la situation politique et économique de quelques pays voisins desquels nous avons une grande dépendance.

Si nous regardons notre dépendance de notre diaspora et de nos pays voisins littéralement appelé pays amis, nous devrons secouer la tête et faire un virage de 90 ou 180 degré.
On prend le Venezuela, pays 33 fois plus grand qu'Haiti, pays qui a eu la chance de connaître l'immortel Hugo Chavez ( homme révolutionnaire et progressiste) qui a su rapatrier le pétrole au service du peuple  venezuelien. Le pétrole constitue la base budgétaire même de cette république avec près de 2 million de baril par jour. Le président Chavez a eu la chance de trouver le prix du baril aux environs des $100 us, ce qui lui a permis les réformes nécessaires et surtout le partage à un prix préférentiel aux pays de la Caraïbes. Cependant le prix du pétrole a subitement chuté sur le marché international pendant les 24 derniers mois, ce qui a causé un déficit budgétaire énorme, la montée du taux de l'inflation et une instabilité socio-politique difficile à contenir dans ce pays.
Il est à rappeler que la grande partie des programmes sociaux en Haiti a été financé par l'argent provenant du fond petrocaribe, crédit de la république bolivarienne de Venezuela. Ainsi quand ça va mal chez le voisin, on doit de se préparer aux répercutions car la manne ne saurait être éternelle.

On prend les États Unis d'Amerique communément appelés les USA, pays amis et surtout pays d'accueil pour des centaines de milliers de compatriotes, qui depuis les 5 dernières décennies s'y sont réfugiés pour un mieux être suite à nos interminables crises socio-politique, économique et humanitaire. Les USA connaissent depuis les élections présidentielles du 8 novembre dernier, un penchant de nationalisme à outrance, ce qui crée un climat de peur et d'incertitude dans toute la communauté immigrante, mais surtout chez ceux dont leurs autorisations de travail et de séjour ont été expirées communément appelés les sans papiers.
On le sait tous que plus du tiers de notre budget est financé par l'extérieur et plus de 15% de ce dit budget est compensé par l'apport de la diaspora au travers des transferts de devises pour supporter leur proche. Il y va de noter que cet argent est destiné à d'innombrables familles qui peinent à se lever des dégâts du tremblement de terre, du cyclone Mathew, entres autres.
Ainsi quand cette diaspora est sujet de déportation, on doit justement commencer à comprendre que plus tard serait triste et combien notre gouvernement doit prendre les mesures qui s'imposent.

On prend un troisième et dernier pays pour fermer cette page et citer que ceux là , il nous vient à l idée la république Dominicaine, pays frontalier avec aussi plusieurs centaines de milliers de nos compatriotes en situation de ballotage. Elle a tout récemment joué le jeu de la double face. Elle a déclaré apatrides à de nombreux compatriotes, ce qui est un coup de poignard dans le dos, puis elle est venue pour nous faire la charité vue notre dépendance à outrance.
Pour rappel, C'est notre premier partenaire économique après les USA. Leurs produits occupent la majeure partie de notre marché et de notre consommation. Cette facilité à la frontière et les différentes donations asphyxient notre économie et détériorent la production locale par une concurrence déloyale.
Vue que notre ventre et notre quotidien dépendent exclusivement de leur produit, leur chantage nous affecte et nous rend d'avantage vulnérable.

Sachant que l'économie ne marche pas sans la stabilité, toute inquiétude ralentit les investissement et diminue les échanges. Nous avons passé 2 ans pour réaliser des élections ce qui pèse encore sur notre économie et les petites bourses. Un ensemble de manifestations qui provoque une augmentation du taux d'inflation, la faiblesse de la monnaie locale, (la fermeture des hôpitaux publics  et la dégringolade dans le système éducatif, le taux de chômage entre autres..)
Cependant, que faire face à cette géopolitique défavorable?
Le peuple haitien a eu la chance d'avoir hérité d'une histoire fantastique, révolutionnaire, transcendantale. Une histoire marquée par un hors pair élan patriotique. Mais c'est bien malheureux que c'est seulement un peu d'histoire. On a tout justement tenté de ressurgir en témoigne le mouvement des années 1986, d'où une victoire pour la liberté d'expression et de la presse. Mais, et après?

On a sûrement pas l'expertise, mais se basant sur cet élan patriotique, tout porte à une simple équation.
On doit appliquer inévitablement une politique d'austérité, on doit se pencher vers l'efficacité et l'efficience dans nos modes de gestion tantôt de la chose publique que privée. On doit s'exiger le retenu dans les dépenses non nécessaire. On doit rompre avec certains privilèges qui ne font qu'accroître la discrimination dans nos institutions. On doit de se montrer transparent et répondre à la justice et par devant le peuple de nos transactions.

Les prochains jours s'annoncent difficiles et la géopolitique n'est qu'une preuve de l'interdépendance. Ainsi dire autant qu'on pourrait se battre pour l'organisation de notre société, pour le renforcement de nos institutions et créer une stabilité progressive et créatrice d'emploi, diversifier notre économie, autant que notre Haiti chérie résistera aux intempéries et sortira la tête de l'eau!

Dr Jhon Evenst Douyon
douyonevenst54gmail.com

lundi 9 janvier 2017

Vivre ensemble et non se battre

L'objectif premier est de vivre ensemble et non de se battre, cependant pour vivre il faut se battre .
Se battre pour rester en vie, se battre pour se nourrir et nourrir sa famille, se battre pour s'instruire et léguer son savoir aux futures générations, se battre aussi pour son respect et le respect des autres, se battre pour intégrer et promouvoir les valeurs sociales et les liens du vivre ensemble.
Combien changerait notre quotidien si on se rappelait de notre objectif premier!